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I love techno 2008
3 participants
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I love techno 2008
De retour du plat pays avec encore du son et des images plein la tête…
12h à arpenter les immenses hangars du Flander’s Expo ça fatigue mais qu’est-ce que c’est bon !!
Je commence par une petite anecdote :
21H30, devant une forêt de bras levés et autant de cris déchaînés, une petite phrase d'un Birdy Nam Nam au micro en plein show : "MERCI !! c'est pas en France qu'on verrait ça". Il a presque tout dit.
Pour le line-up : il a raison
Pour l’organisation : il a raison
Pour l’ambiance : il a raison (à quelques rares exceptions prés).
Arrivés à Bruxelles samedi matin, descente d’avion pour prendre la voiture et faire un peu de tourisme dans le pays voisin (pas la France ). Ensuite direction le centre ville de Gent pour faire un peu de shopping (enfin, j’entends par «shopping» de bonnes bières belges pour l’apéro, pas des fringues ) et manger un morceau. De là, on part avec beaucoup d’avance au Flander’s expo, histoire d’avoir une bonne place de parking et prendre l’apéro tranquille. Ah pour ça on a eu la meilleure place de parking !! Le parking VIP avec aussi le QG de la sécu et de la croix rouge !! Bon, on pouvait pas savoir 3h avant .
19h30, nous voilà devant le hall d’entrée. Etape 1 : contrôle des billets. Etape 2 : fouille rapide (un œil de haut en bas et « ok c’est bon »). Etape 3 : le vestiaire, un entrepôt dédié avec un système de cintres numérotés sur des chariots numérotés dans des allées numérotées, bref du grand art dans l’organisation et ce n’est que le début. On traverse le hall du chill-out, de la fausse pelouse pour s’allonger, des fauteuils, des canapés, une déco soignée, une vraie régie video et une scène pour les DJs, le tout dans un espace grand comme un demi terrain de foot.
A la sortie du chill, on arrive dans le hall central qui, lui, fait la taille d’un terrain de foot entier. C’est bien simple, on ne sait pas par où commencer le périple. Un bon quart d’heure plus tard on a quand même finit le tour du lieu. Au centre : un dancefloor Coca-C*** perché à 5 mètres pouvant accueillir une centaine de personnes. A côté, un stand Red-B*** avec des barmaids qui se faisaient treuiller à 10 mètres de haut pour aller chercher les précieuses boissons dans des minis frigos. Le tout parsemé de bars immenses et de guichets où acheter des tickets pour les boissons et le snack. Pas une seconde d’attente à tous les bars grâce à ce système. C’est important… Le prix aussi : 2,5€ la bière, ça laisse songeur… Et si vous êtes chargé de ramener à boire pour toute votre équipe, on vous donne un plateau en carton pour porter 6 verres d’un coup. Pratique, pour ceux qui ont déjà tenté de traverser des dancefloors bondés avec 3 ou 4 verres dans chaque main sans en renverser .
Prise de contact faite, il est temps d’aller voir ce qui se passe dans le cœur de la meule. Enfin dans une des 5 meules, la salle orange… Birdy Nam Nam. Je les ai loupés cet été à Burgos, donc entre temps je m’étais abreuvé de vidéos sur le net. Et bien ça n’a rien à voir !! c’est… nan… rien à voir. On a eu un show-set de fous, le tout porté par un public en furie à cette heure. Le tout avec une maîtrise qu’on sent beaucoup moins sur ces vidéos. Ca m’a donné par moment l’impression que le public et les 4 gars se connaissaient depuis longtemps et qu’ils jouaient ensemble. Plus tard, Underworld m’a laissé le même sentiment, comme aux Nuits Sonores à la même heure. Il y a des artistes comme ça…
Je ne ferais pas de report sur tous les artistes entendus ce soir là, mais il y’en a eu pour tous les goûts. Mes préférés dans le désordre: les 2 cités au dessus, plus Marco Carola, Dave Clarke, Robert Hood (ça réveille à 6h du matin). Le show Contakt : étrangement c’était la salle où il y a eu le moins de monde toute la nuit.
Le tout servi dans chacune des salles par un sound system claquant, pas assourdissant et relayé dans le milieu des salles pour annuler l’echo. Ah oui, chaque salle avait son bar de 25 mètres de long et ses toilettes, payantes mais bon…
C’était aussi l’occasion de se remettre aux langues étrangères ou d’essayer : anglais, allemand, hollandais, italien, espagnol… et autant de plaques différentes sur la flotte de bus garés devant. I love techno, c’est une aventure pour beaucoup, un de ces « trucs à vivre », et à revivre.
12h à arpenter les immenses hangars du Flander’s Expo ça fatigue mais qu’est-ce que c’est bon !!
Je commence par une petite anecdote :
21H30, devant une forêt de bras levés et autant de cris déchaînés, une petite phrase d'un Birdy Nam Nam au micro en plein show : "MERCI !! c'est pas en France qu'on verrait ça". Il a presque tout dit.
Pour le line-up : il a raison
Pour l’organisation : il a raison
Pour l’ambiance : il a raison (à quelques rares exceptions prés).
Arrivés à Bruxelles samedi matin, descente d’avion pour prendre la voiture et faire un peu de tourisme dans le pays voisin (pas la France ). Ensuite direction le centre ville de Gent pour faire un peu de shopping (enfin, j’entends par «shopping» de bonnes bières belges pour l’apéro, pas des fringues ) et manger un morceau. De là, on part avec beaucoup d’avance au Flander’s expo, histoire d’avoir une bonne place de parking et prendre l’apéro tranquille. Ah pour ça on a eu la meilleure place de parking !! Le parking VIP avec aussi le QG de la sécu et de la croix rouge !! Bon, on pouvait pas savoir 3h avant .
19h30, nous voilà devant le hall d’entrée. Etape 1 : contrôle des billets. Etape 2 : fouille rapide (un œil de haut en bas et « ok c’est bon »). Etape 3 : le vestiaire, un entrepôt dédié avec un système de cintres numérotés sur des chariots numérotés dans des allées numérotées, bref du grand art dans l’organisation et ce n’est que le début. On traverse le hall du chill-out, de la fausse pelouse pour s’allonger, des fauteuils, des canapés, une déco soignée, une vraie régie video et une scène pour les DJs, le tout dans un espace grand comme un demi terrain de foot.
A la sortie du chill, on arrive dans le hall central qui, lui, fait la taille d’un terrain de foot entier. C’est bien simple, on ne sait pas par où commencer le périple. Un bon quart d’heure plus tard on a quand même finit le tour du lieu. Au centre : un dancefloor Coca-C*** perché à 5 mètres pouvant accueillir une centaine de personnes. A côté, un stand Red-B*** avec des barmaids qui se faisaient treuiller à 10 mètres de haut pour aller chercher les précieuses boissons dans des minis frigos. Le tout parsemé de bars immenses et de guichets où acheter des tickets pour les boissons et le snack. Pas une seconde d’attente à tous les bars grâce à ce système. C’est important… Le prix aussi : 2,5€ la bière, ça laisse songeur… Et si vous êtes chargé de ramener à boire pour toute votre équipe, on vous donne un plateau en carton pour porter 6 verres d’un coup. Pratique, pour ceux qui ont déjà tenté de traverser des dancefloors bondés avec 3 ou 4 verres dans chaque main sans en renverser .
Prise de contact faite, il est temps d’aller voir ce qui se passe dans le cœur de la meule. Enfin dans une des 5 meules, la salle orange… Birdy Nam Nam. Je les ai loupés cet été à Burgos, donc entre temps je m’étais abreuvé de vidéos sur le net. Et bien ça n’a rien à voir !! c’est… nan… rien à voir. On a eu un show-set de fous, le tout porté par un public en furie à cette heure. Le tout avec une maîtrise qu’on sent beaucoup moins sur ces vidéos. Ca m’a donné par moment l’impression que le public et les 4 gars se connaissaient depuis longtemps et qu’ils jouaient ensemble. Plus tard, Underworld m’a laissé le même sentiment, comme aux Nuits Sonores à la même heure. Il y a des artistes comme ça…
Je ne ferais pas de report sur tous les artistes entendus ce soir là, mais il y’en a eu pour tous les goûts. Mes préférés dans le désordre: les 2 cités au dessus, plus Marco Carola, Dave Clarke, Robert Hood (ça réveille à 6h du matin). Le show Contakt : étrangement c’était la salle où il y a eu le moins de monde toute la nuit.
Le tout servi dans chacune des salles par un sound system claquant, pas assourdissant et relayé dans le milieu des salles pour annuler l’echo. Ah oui, chaque salle avait son bar de 25 mètres de long et ses toilettes, payantes mais bon…
C’était aussi l’occasion de se remettre aux langues étrangères ou d’essayer : anglais, allemand, hollandais, italien, espagnol… et autant de plaques différentes sur la flotte de bus garés devant. I love techno, c’est une aventure pour beaucoup, un de ces « trucs à vivre », et à revivre.
Re: I love techno 2008
Yes!
Merci pour le récit, on s'y serait cru!
Du son et des images pleins la tête et le coeur!!
C'est bon ça!
Merci pour le récit, on s'y serait cru!
Du son et des images pleins la tête et le coeur!!
C'est bon ça!
Re: I love techno 2008
effectivement, superbe résumé !
c'est vraiment le genre de soirée à faire une fois dans sa vie (d'amateur de musique électro !)
c'est vraiment le genre de soirée à faire une fois dans sa vie (d'amateur de musique électro !)
Re: I love techno 2008
à faire autant de fois que possible
youtube regorge de videos de la soirée, pour l'ambiance je vous conseille celles d'Underworld
petit bémol : 3 jeunes hollandaises se sont tuées en voiture sur le chemin du retour
youtube regorge de videos de la soirée, pour l'ambiance je vous conseille celles d'Underworld
petit bémol : 3 jeunes hollandaises se sont tuées en voiture sur le chemin du retour
Re: I love techno 2008
madlexx a écrit:petit bémol : 3 jeunes hollandaises se sont tuées en voiture sur le chemin du retour
malheureusement c'est le genre de bémol quasi impossible a éviter sur un événement rassemblant autant de monde !!!
Re: I love techno 2008
c'est un peu ce que je me disais, au risque de choquer : 3 sur 35000, soit 0.1/1000 ça reste bas comme probabilité, certainement moins que de se faire ouvrir le ventre à une sortie de "discothèque" vaseuse ou d'un bal de village...
Re: I love techno 2008
C'est clair que c'est l'angoisse de tout organisateur d'événement!...
C'est pour cela que nous sommes en train de mettre en place un service voiturier pour le 20 décembre..
2 ou 3 véhicules ( suivant le nombre de pré-vente " navette" ) de 8 personnes à prix réduit..
Alcool-test à la sortie pour les plus hésitants.. qui coûte une fortune, ce qui est scandaleux!
Mais malheureusement..
On ne peut pas tout prévoir..
C'est pour cela que nous sommes en train de mettre en place un service voiturier pour le 20 décembre..
2 ou 3 véhicules ( suivant le nombre de pré-vente " navette" ) de 8 personnes à prix réduit..
Alcool-test à la sortie pour les plus hésitants.. qui coûte une fortune, ce qui est scandaleux!
Mais malheureusement..
On ne peut pas tout prévoir..
Re: I love techno 2008
le voiturier fait le trajet jusqu'à St Raph' ?
blague à part, très bonne initiative !
blague à part, très bonne initiative !
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